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Centre Culturel René MagritteCentre Culturel René Magritte

Vernissage-expo de l’Atelier “chez Goret” + Expansion

lun
16
Juin

lundi 16 juin 2014 | 19:00

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Avec Brune Campos et Antoine Nève de Mèvergnies
Focus sur le travail d’étudiants des Beaux-Arts de Bruxelles qui participent au projet des différents centres culturels de la région  “Territoires sans cible” et qui se sont davantage investis en Lessines.
Vernissage le lundi 16 juin à 19h et parcours qui conduit de l’ancien établissement électroménager, mué ce semestre en atelier par Brune Campos, en la cour Ferme de Notre-Dame à la Rose, pour accueillir une forme impromptue, inventive, d’Antoine Nève. Un questionnement poétique du territoire, pour relever ses enjeux et spécificités. Cette étude aura dans l’entité lessinoise aussi laissé d’autres traces et oeuvres.
L’atelier “Chez Goret” sera également accessible le week-end du 14 juin.

Un mot sur les deux initiatives

De Brune Campos

La découverte du buste du sculpteur Brancusi, sur la place de la gare de Lessines, guide ses pas. La notion d’atelier ici « ouvert » est un laboratoire, un lieu de confrontation entre un ordre tracé par l’homme et le chaos. Entre discours et praxis, cet espace devient une expérience pour le regard sur la mise en relation entre les médiums. Des agencements de matériaux hétérogènes (dé)construisent le temps donné de l’atelier.  Cet atelier parle du présent de Lessines, chaque élément de construction renvoie à un modèle utopique de la ville dans son rapport à l’histoire.

D’Antoine Nève de Mèvergnies

Il s’agit d’une réflexion sur la notion de territoire- de limites- de transformation et de mutation d’un paysage rural. En effet la région d’Ath-Lessines évolue du fait de l’expansion des villes. Dans son travail, l’ėtudiant choisit le plastique comme support métaphorique pour évoquer l’expansion ; en effet celui-ci est un corps étranger à l’espace dans lequel il s’insère lorsqu’il se gonfle, il évoque l’envahissement et l’invasion. Cependant, il peut aussi être perçu comme aventure poétique. Un dialogue entre deux univers. Une ruelle qui se remplit d’une forme impromptue et qui obstrue le passage. Des panneaux publicitaires qui se confondent au paysage et dans lequel le plastique s’impose.