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Centre Culturel René MagritteCentre Culturel René Magritte

Un Paradis sur terre : Une Compagnie (projet belgo-burkinabé)

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lundi 10 février 2014 | 10:30

Paradis_sur_terre

Prix : 3,5 euros par enfant – Jauge : 130 – Durée : 60 minutes

Dès 10 ans – 5e et 6e primaires

Le 10 février 10h30 et 13h20

Animations en classe : écriture d’un reportage sur les liens Lessines-Bobo Dioulasso, sur les visages du Burkina Faso à travers notre ville, en particulier à travers l’association Lessines-Afrique, sur les enjeux/particularités du « pays des hommes intègres », ainsi que sur la quête du développement durable qui rapproche Belges et Africains.

Le spectacle

Les jeunes spectateurs sont disposés en cercle autour de l’espace de jeu. Un conteur africain arrive. Il vient nous transmettre la mémoire de ce qui s’est passé… ou de ce qui se passera.

Son conte, c’est l’histoire des derniers survivants Européens. Ceux-ci furent obligés de fuir leurs pays dévastés par des catastrophes écologiques et de se réfugier en Afrique. Comment accepter le rationnement, la privation, l’exil, le fait d’avoir tout perdu … En un mot, l’immigration quand on est Blancs ? Monde à l’envers ou du futur ? L’histoire est tout à fait surprenante puisqu’elle retourne complètement notre réalité actuelle.

Ce théâtre rituel, proche du public, est émaillé d’humour, de force, d’émotion.

La pièce, jouée par des comédiens belges et africains, a été montée au Burkina Faso. En collaboration avec le C.N.C.D (opération 11.11.11.)., la Ville de Lessines (Plan communal de coopération avec Bobo Dioulasso), Mayak et Lessines-Afrique, des animations en classe sont prévues.

« Installés en cercle, très proches des cinq comédiens de grand talent dont trois à la peau d’un noir satiné, nous sommes captivés par le texte d’Eric Durnez contant les conséquences de la faillite de l’Europe suite aux crises économique, politique et écologique.

Un ex- flic, assuré de sa supériorité, et son épouse, ex-aide-soignante, se retrouvent réfugiés sans papier dans un camp africain. Tandis que lui, ravagé par la bibine des contrebandiers, reste sourd à tout compromis, elle a compris que les rôles se sont inversés et que la seule chance de survie est de s’intégrer. (…). Un bonheur sur scène ».

Isabelle Spriet, septembre 2011, « Les Parents à l’école »